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warda

sébastien harrisson / michael delaunoy

en tournÉe


Avec
Violette Chauveau, Victoria Diamond, Hubert Lemire, Salim Talbi et Mieke Verdin.

Y'A DES OBJETS QU'ON PEUT PAS POSSÉDER,
C'EST EUX QUI NOUS POSSÈDENT


Perdu dans les rues de Londres, Jasmin, jeune loup de la finance débarqué de Montréal, rencontre un garçon prénommé Hadi qui cherche à lui vendre un tapis précieux aux motifs fascinants. Ce qui pourrait être une banale transaction se transforme en une véritable énigme quand le vendeur demande à Jasmin le mot de passe qui conclura le « deal ».

Quête initiatique défiant l'espace et le temps, Warda nous emmène en un claquement de doigts des rives de la Tamise aux portes de l'Orient et des quais de l'Escaut à l'antique cité de Babylone. Une comédie à la lisière du fantastique où langues et identités s'entrechoquent sous le regard amusé du philosophe Michel Foucault.  

Écriture Sébastien Harrisson /  Mise en scène Michael Delaunoy /Scénographie & Costumes Gabriel Tsampalieros / Lumière Laurent Kaye / Création sonore Éric Ronsse / Maquillages et coiffures Serge Bellot / Assistante à la mise en scène Lénaïc Brulé / Assistante décor et accessoires Claudine Perron / Construction De Muur et Olivier Waterkeyn / Confection de costumes Hélène Honhon / Coaching anglais Stephen Shank / Photos Alessia Contu / Assistants stagiaires à la mise en scène Yannic Duterme et Julia Kaye.

Une production de la compagnie de théâtre Les Deux Mondes (Montréal) en coproduction avec le Rideau de Bruxelles. Avec le soutien du Conseil des arts et des lettres du Québec, du Conseil des Arts du Canada, du Ministère des Relations internationales et de la Francophonie du Québec et de Wallonie-Bruxelles International.
WARDA voyage et fait voyager !

Écrit par l'auteur québécois Sébastien Harrisson et mis en scène par Michael DelaunoyWARDA séduit en ce moment-même le public et les critiques montréalais.

Créée en avril 2016 au Rideau de Bruxelles et à l’affiche depuis le 16 janvier 2018 du Théâtre Prospero, cette coproduction internationale réunit le Rideau de Bruxelles et la compagnie de théâtre Les Deux Mondes.

En voici quelques échos médiatiques :


COUP DE CŒUR - WARDA, VÉRITABLE BIJOU
La plus récente pièce de Sébastien Harrisson, Warda, est un petit bijou. Fable contemporaine qui oppose la raison de la haute finance à la force de l’imaginaire, Warda nous invite à faire un voyage sur les ailes d’un tapis magique. Mise en scène soignée, belle scénographie, interprétation savoureuse dans un texte flirtant avec le fantastique. Inspiré par Michel Foucault, Sébastien Harrisson nous démontre que le plus beau dans l’esprit humain ne peut se vendre ni s’acheter.
MARIO CLOUTIER - La Presse 

Mise en scène avec simplicité et précision par le Belge Michael Delaunoy, la coproduction évite en gros les écueils parfois associés à ces spectacles hybrides, comme une distribution à plusieurs vitesses. La sienne  - qui a nourri dès le départ la création - est solide.
MARIE LABRECQUE - Le Devoir

Warda c’est surtout un beau jeu d’acteurs qui rivalisent de talent, où chaque comédien s’exprime dans sa langue d’origine, ce qui donne lieu à des échanges fort cocasses. [...] Warda, c’est l’ouverture sur le monde à la fois sous sa forme la plus simple et aussi la plus grandiose.
TAN BÉLANGER - ARP.Média

Warda est aussi une pièce sur l’intelligence [...]. C’est la nette revendication que Delaunoy, par l’entremise de Harrisson, lance aux spectateurs dans une pièce minimaliste, magnifiquement chorégraphiée et prise d’assaut par une troupe de comédiens amoureux de leur engagement.
ÉLIE CASTIEL - Séquences - La revue de Cinéma

Ce conte moderne est habilement tissé, brillamment écrit, de manière à ce que la structure de la pièce et ses ancrages nous ramènent au tapis persan, élément déclencheur de Warda. Tapis dont le vendeur (Salim Talbi) dit, en le comparant à un jardin, qu’on peut s’y promener, qu’on peut s’y perdre. C’est l’effet de la pièce elle-même, et c’est admirable!
CAROLANE DESMARTEAUX - Pieuvre.ca

Le principal atout de l'interprétation de ce texte est l'accent ou plutôt les accents: anglophone, québécois, français et belge. Quel plaisir… Un pur enchantement! Grande performance de Mieke Verdin, car, même si je ne parle pas un traite mot de néerlandais, je comprenais ce qu'elle voulait dire juste avec son jeu. Rien qu'à se laisser bercer par les sonorités, nous avons l'impression de voyager.
VALÉRIE GARRIGUE - Dario Bivona Blog

Warda une exploration des identités et de la porosité des frontières culturelles, géographiques et sexuelles. Une réflexion sur notre époque, libre et complexe, avec un clin d’oeil à Michel Foucault. À voir et à vivre.
ALAIN CLAVET - Boom liberté

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    • 16.01 > 03.02 [Tournées]
    © signélazer
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