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CRÉATION
Avec Violette Chauveau, Hubert Lemire, Salim Talbi, Christina Toth et Mieke Verdin.
Y'A DES OBJETS QU'ON PEUT PAS POSSÉDER,
C'EST EUX QUI NOUS POSSÈDENT
Perdu dans les rues de Londres, Jasmin, jeune loup de la finance débarqué de Montréal, rencontre un garçon prénommé Hadi qui cherche à lui vendre un tapis précieux aux motifs fascinants. Ce qui pourrait être une banale transaction se transforme en une véritable énigme quand le vendeur demande à Jasmin le mot de passe qui conclura le « deal ».
Quête initiatique défiant l'espace et le temps, Warda nous emmène en un claquement de doigts des rives de la Tamise aux portes de l'Orient et des quais de l'Escaut à l'antique cité de Babylone. Une comédie à la lisière du fantastique où langues et identités s'entrechoquent sous le regard amusé du philosophe Michel Foucault.
NL Van Quebec tot Antwerpen, van Londen tot Parijs, van aan de oevers van de Schelde tot aan de poorten van het Middenoosten. Een pakkend reisverhaal dat het midden houdt tussen een initiatiezoektocht en een fantasierijk sprookje. ME 20 AVR APRÈS SPECTACLE
DÉBAT DU BOUT DU BAR avec Sébastien Harrisson, Michael Delaunoy, l'équipe du spectacle,...
COMMENT ALLEZ À LA RENCONTRE DE L'AUTRE ?
Warda, un projet de co-production qui a traversé l'Atlantique.
La pièce emprunte les codes du conte et du récit fantastique.
Un récit fantastique qui s'ancre dans le réel.
LA priorité de la semaine selon François Caudron !
FRANÇOIS CAUDRON - MUSIQ'3
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QUEL EST NOTRE RAPPORT AUX AUTRES DANS CETTE SOCIÉTÉ DE RENTABILITÉ ?
Un projet qui réunit des acteurs canadiens et belges et qui aborde le sujet du vrai rapport aux choses. Un grand voyage entre l'Europe et les portes de l'Orient, entre Anvers et l'antique cité de Babylone.
NICOLE DEBARRE - LA PREMIÈRE
CAPTIVANTS MÉANDRES DE WARDA
Taillée à la mesure d'acteurs brillants et subtilement complémentaires, la création de Sébastien Harrisson et de Michael Delaunoy réussit un feuilleté métaphorique de regards et d'identités, de récits, d'atmosphères et de mystère.
*** MARIE BAUDET, LA LIBRE CULTURE
WARDA, L'AUTRE ROSEBUD
On se connaît si peu, alors comment pourrait-on franchir la frontière qui nous sépare des autres ? Voilà (en très fort) résumé le propos de Warda, pièce puzzle du Québécois Sébastien Harrisson. Puzzle ou labyrinthe dont le fil d'Ariane serait cette petite fille prénommée Warda, prénom aussi mystérieux que le Rosebud de Citizen Kane. Il y est question d'un tapis vieux de plusieurs siècles, d'un auteur incapable de gérer le réel, de personnages qui se perdent entre Paris, Londres, Bagdad et... Charleroi.
Dit de cette manière, cela pourrait ressembler à du grand n'importe quoi et pourtant, on est embarqué dans ce voyage étrange et plein d'humour qui nous parle de nous, aujourd'hui, vivant dans une société où la peur de l'autre domine, alors qu'il suffirait de s'asseoir autour d'une tasse de thé pour apprendre à se connaître et parler la même langue. Warda est un conte plus que salutaire.
*** ÉRIC RUSSON, MOUSTIQUE
Cette pièce nous envoûte par son jeu et son atmosphère à la lisière du fantastique (...) On reste subjugué par le jeu des comédiens, dont les nuances n’ont rien à envier aux plus beaux tapis d’Orient.
*** CATHERINE MAKEREEL, LE MAD
AIR CANADA
Pas moins de quatre spectacles canadiens - dont trois québécois - déferleront bientôt sur les scènes belges. D’Olivier Kemeid à Wajdi Mouawad, une vague soulevée de l’autre côté de l’Atlantique qui n’a pas fini de nous revigorer.
(...) Michael Delaunoy, qui présente "Warda" de Sébastien Harrisson, autre coproduction belgoquébécoise, au Rideau de Bruxelles pose ce constat: « Ce qui rapproche les Québécois des Nord-Américains, c’est cette conscience que l’écriture se fonde aussi sur des techniques. Pour "Warda", Sébastien a par exemple commencé par rédiger un synopsis, une méthode qui sera davantage associée au cinéma ici. Sébastien sait comment mener un dialogue, il a le sens de la punchline, il a cette science qu’on retrouve dans les séries américaines, qu’on aime et qui s’enseigne. » Une approche résolument décomplexée, par rapport à une France ployant historiquement sous une tradition plus livresque, plus littéraire.
Avec ou sans accent?
Warda, dont l’action, impliquant un mystérieux tapis d’Orient, se déroule
entre Londres, Paris, Bagdad, Québec et Anvers, a la particularité de mêler plusieurs langues et de réunir une équipe polyglotte, dont une néerlandophone et une anglophone installée à New York. En cela, la pièce reflète bien la progressive ouverture sur le monde des auteurs de la jeune génération québécoise.
ESTELLE SPOTO, LE VIF
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DAVID COURIER accueillait Michael Dealunoy dans LCR sur BX1