Passeuse de romans, de récits, de lettres ou de paroles brutes de la page à la scène, Brigitte Baillieux mêle les disciplines et compose des spectacles personnels et sensibles qui interrogent la frontière entre réel et fiction. Avec Autrefois, il faisait jour jusqu’à minuit, elle livre pour la première fois sa propre écriture.
Une histoire de deuil, de transmission, de perte de la mémoire - traversée par la figure du romancier américain Jim Harrison. Un spectacle où la parole se suspend par instants. Pour laisser place à la vitalité du corps qui danse. A la musique, de Purcell aux Sex Pistols. Au silence. Un hymne à la valeur inestimable de la vie, si dérisoire et si fragile. |
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